La mesure du temps et la datation
La datation carbone 14.
Le principe de la datation au carbone 14 est d'observer sur un corps la quantité de carbone 14 presente. En effet l’on sait que la quantité de carbone 14 diminue de 1.24% par siecle. Cette datation est donc tres utile en Archeologie par exemple lorsqu'on retrouve des ossements.
On a retrouvé l’utilisation de cette datation dans l’affaire du suaire de Turin. En 1986, on accorde à 7 laboratoires différents le protocolle de datation du suiaire de Turin. Ce nombre a finalement été ramené à 3 labo en 1988 (Zurich, Oxford, Arizonna). Chaque laboratoire effectue alors leurs études de manière individuelle, et lors de la publication des résultats, on constate que ce suaire qui était sensé avoir été sur le Christ daterai finalement entre 1260 et 1390 donc bien après la vie de Jesus de Nazareth. Cette annonce fut validé par l’Eglise, mais beaucoup ni croyait pas . C’est plus tard qu’un americain nous dit que cette datation était du, car l’echantillon prelever était en faite une couture réalisée par des sœurs au moyen-age. C’est en 2011 que cette datation moyenâgeuse a été confirmé par une nouvelle étude realisé par un britannique
Le principe de la datation est relativement simple. En effet on trouve du carbone 14 dans la nature et il est fabriqué dans l’athmosphère par le bombardement de noyau d’azote. Un être vivant absorbe donc du carbone 14 constamment et lorsqu’il meurt cette quantité de C14 diminue de manière constante à hauteur d'environ 1.24% par siècle. En mesurant donc la quantité de carbone 14 on peut donc dater l’origine d’un être et c’est cette technique qui a été employée dans la dadation du suaire de Turin.
